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TOUTES LES QUESTIONS QUE VOUS

POURRIEZ VOUS POSER

les étapes du language

Bébé ne parle pas, mais il comprend!

Avant de réussir à parler, un enfant développe d’abord sa compréhension du langage. Ainsi, il peut souvent comprendre certains mots ou certaines phrases, même s’il ne les dit pas. Par exemple, lorsqu’un bébé dit seulement « maman » et « papa », il comprend sûrement plusieurs autres mots. 

À partir de 6 mois, un bébé commence habituellement à reconnaître des mots. Mais c’est vers l’âge de 8 à 9 mois qu’un bébé associe vraiment un sens aux mots. Vers 12 mois, un bébé peut comprendre environ 50 mots. Mais ce n’est que vers 18 mois qu’il sera capable d’en dire autant. Tout simplement parce que prononcer des mots est plus difficile que de les comprendre.

Ainsi il n'est jamais trop tôt pour initier votre bébé à une langue étrangère. Mème s'il ne parle pas encore, votre bébé s'initiera tout naturellement à la musique de la langue et au vocabulaire de base!

A partir de 3 ans, votre enfant passe à l'action.

Vers 3 ans, l’enfant comprend des questions plus complexes comme « pourquoi? ». Il décode aussi des consignes plus longues. Il apprend petit à petit des choses plus abstraites comme « à côté », « en arrière », « en avant ». C’est aussi à ce moment qu’il comprend mieux le nom des couleurs et les notions de quantité. On peut aider votre enfant à mieux comprendre les mots et les phrases en lui parlant souvent.

Il est important d’utiliser un vocabulaire précis et varié pour que votre enfant apprenne de nouveaux mots. Il est préférable aussi de lui parler de ce qui l’intéresse. Votre tout-petit sera plus motivé à comprendre des mots utiles pour lui. 

Ainsi, grâce à ses capacités d'écoute très approfondies, un enfant peut s'initier facilement à une langue étrangère... d'autant plus si cela se fait via des activités qui le passionne et qu'on respecte son rythme de développement. 

Après 6 ans, construire la confiance.

Pour se construire, un enfant a besoin de sentir qu’il appartient à un groupe dont il est partie prenante. Ce sentiment d’appartenance s’apprend partout à la maison, à l'école, dans ses activités.

Parfois un enfant peut montrer des difficultés à prendre la parole en groupe, de peur de dire une bêtise ou de ne pas être à la hauteur.  C'est d'autant plus le cas quand il s'agit d'une langue étrangère, l'école proposant souvent des méthodes très académiques centrées sur l'écrit. Chez Speakid, nous développons un cocon de bienveillance où votre enfant sera respecté et encouragé à prendre la parole.  "Oui tu es capable d’y arriver." La confiance mise en ses capacités lui donnera de l’assurance et l’esprit d’initiative pour se lancer à la découverte du monde.

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votre enfant dans un atelier

Nous parlons déjà deux langues à la maison, est-ce raisonnable d’ajouter l’anglais

Les polyglottes apprennent à trier les différents "systèmes de sons". (le R roulé espagnol, le H aspiré anglais, les nasales françaises,etc.) et à passer d’un système à un autre sans jamais les mélanger, comme s'ils étaient munis d'un interrupteur. Cette capacité à « jongler » entre les langues est particulièrement développée chez les personnes ayant appris plusieurs langues dès leur plus jeune âge. La différence majeure entre les langues n’est pas la grammaire et les mots, mais la véritable base, ce sont les sons. Il n’est donc pas un problème d’apprendre une troisième ou quatrième langue.

Qu’apprend réellement mon enfant

Lorsque je l’interroge, il ne sait pas traduire les mots qu’il est censé avoir vu pendant les ateliers…

Les enfants apprennent à leur rythme. Si l’on compare l’apprentissage de leur langue maternelle à celui de la seconde langue, il faut laisser l’enfant s’approprier le vocabulaire qu’il a vu, les sons. Il n’est pas recommandé de l’interroger directement ni de faire de la traduction. Il est préférable de réutiliser les mots de vocabulaire en contexte afin que votre enfant utilise le vocabulaire en action. C’est pourquoi chez Speakid, nous privilégions le jeu, les activités autour des sens comme la musique, le toucher…

Est-ce qu’un atelier d’anglais une fois par semaine est utile

Le bilinguisme même à petites doses est bénéfique. Le bilinguisme multiplie les capacités cognitives. (« métacognitions » : réflexion sur le langage), il améliore les capacités relationnelles, l’estime de soi, favorise l’empathie et apporte une plus grande ouverture sur le monde et ses différences. Bien sûr, Il est primordial que la représentation de la langue apprise soit positive ! Chez Speakid nous voulons créer ce lien affectif positif avec la langue anglaise.

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LES MYTHES DU BILINGUISME

Une personne bilingue est une personne qui maîtrise à la perfection les 2 langues

FAUX

Il n’existe pas dans le bilinguisme de maîtrise équivalente parfaite des langues. Les  langues servent dans des situations, des contextes  différents et leur maitrise s’applique à des domaines différents

Il est rare d’être bilingue, il faut être très intelligent pour parler plusieurs langues

FAUX

La plus grande partie du monde est bilingue. Même s’il existe des différences dans les aptitudes langagières (dans la langue maternelle y compris) tout le monde peut devenir bilingue.

Les enfants bilingues ne maitrisent réellement aucune langue

FAUX

lI arrive parfois que les enfants bilingues mélangent dans une même phrase plusieurs langues. Cela s’explique parce que les enfants n’ont pas la même conscience que nous lorsqu’ils communiquent. Ils favorisent la communication avant la cohésion de la phrase, ils veulent avant tout se faire comprendre.

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